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Auteur/autrice : Blondy PATIENCE

DES MATIERES ET DES COULEURS

Pendant tous ces moments de confinement,
j’ai mis en pratique une idée déjà ancienne :
réaliser des patchworks en recyclant des tissus d’ameublement.
Au bout de 15 ans de tapisserie/ réfection de siège,
j’ai accumulé beaucoup de chutes et d’échantillons.


Trier, classer, couper
puis associer les motifs
et les couleurs pour la
première étape.

Coudre les morceaux en
bandes puis les assembler
pour la deuxième étape.

Utiliser le nouveau tissu
pour coussins, sacs,
galettes de chaise,
fauteuils, plaids…

Le patchwork est une occupation qui allie créativité, travail manuel, patience et recyclage.

Monique BLANQUET

NOËL

Noël.

Un mot magique, plein d’espoir, de joie, de nostalgie, parfois de souffrance aussi.

Qu’est-ce qu’on y fête ?

La naissance d’un enfant : Jésus de Nazareth, né à Bethléem, en Judée (Israël) qui a rassemblé tous les bergers des alentours ainsi que des savants venus d’Orient que l’on appelait « mages », qui plus tard, seront nommés « rois mages » et à qui l’on donna les noms de : Melchior, Gaspard et Balthasar ; l’un est représenté avec la peau noire, un autre la peau jaune et le troisième la peau blanche ; ils symbolisent toutes les races de la terre car cet enfant est venu sauvé tous les hommes.
Noël, fête de joie et d’espérance !

Pourquoi le 25 décembre ?

Il est dit dans l’Ecriture que « Jésus est la lumière du monde » L’Eglise a donc choisi la date du solstice d’hiver, car à partir du 25 décembre, les jours rallongent, et la lumière se fait moins rare.

Qu’est-ce qu’une crèche ?

Le mot « crèche », « cripia » en latin, désigne la mangeoire.

Par extension, il désigne le lieu de la naissance de Jésus, peut-être une grotte aménagée en étable. Dans tous les cas, cet enfant est né dans la pauvreté.

Pourquoi un sapin ?

Dans de nombreuses civilisations, le sapin symbolise la vie.

C’est à partir du Moyen-Âge qu’il fut surtout utilisé, dans les drames liturgiques, où il faisait notamment référence à l’arbre de vie du jardin d’Eden.

On dit que saint François d’Assise a inventé la crèche. Est-ce exact ?

Ce n’est pas tout à fait juste. Dès le XIIIe siècle, on sait que des jeux scéniques ou « mystères », dans lesquels des fidèles miment la Nativité ou les Évangiles, sont organisés dans les églises, puis sur  les parvis.

Saint François d’Assiste a popularisé la crèche et a ajouté des animaux.

La belle histoire de la crèche créée par Saint François d’Assise

Nous sommes en 1223 et François se trouvait à Greccio, une ville de l’Italie. Il dit à l’un de ses amis, qui avait mis à la disposition des frères une grotte dans la montagne : « je veux célébrer Noël avec toi, cette année, dans la grotte. Tu y installeras une mangeoire pleine de foin. Fais venir un bœuf et un âne. Il faut que cela ressemble à la crèche où est né Jésus ».

Et tous les habitants de la ville vinrent entourer les frères et assister à la Messe de Minuit. Ils étaient si nombreux, avec leurs cierges et leurs lanternes, que le bois était éclairé comme en plein jour.

La Messe fut dite au-dessus de la mangeoire qui servait d’autel.

La légende raconte que tout à coup, l’ami de saint François vit un petit enfant étendu dans la mangeoire. Il avait l’air endormi… Et François s’approcha, prit l’enfant tendrement dans ses bras. Puis le petit bébé s’éveilla, sourit à François, caressa ses joues et saisit sa barbe dans ses petites mains !

Et cet ami comprit que Jésus avait semblé endormi dans le cœur des humains et que c’est François qui l’avait réveillé par sa parole et par ses exemples.

François, qui assistait le prêtre à l’autel en qualité de diacre, parla si bien à la foule de la naissance de Jésus et de ce que veut dire Noël que tous furent remplis d’une grande joie.

L’année suivante, les habitants de Greccio avaient raconté avec tant d’admiration les merveilles de cette belle nuit de Noël que, un peu partout, on se mit à reconstituer, dans des grottes ou des étables, la scène touchante de la naissance de Jésus.

Et c’est pourquoi maintenant, nous avons partout des crèches à Noël.

Nous vous souhaitons beaucoup de paix et de joie !

Sainte Catherine d’Alexandrie est fêtée le 25 novembre depuis le Xème siècle.

Catherine est née en Egypte au 4ème siècle et décide de consacrer sa vie à Jésus dont elle a rêvé : elle se considère comme sa fiancée.

Cette jeune fille ne se serait pas appelée Catherine, mais Dorothée… mais Catherine est d’origine Syriaque « Cethar » qui signifie couronne. C’est à l’occasion des croisades que sa légende se répand dans tout l’Occident ; c’est ainsi que Catherine est vénérée par les églises catholique et orthodoxe.
Sainte Catherine est représentée avec une auréole tricolore : le blanc pour la virginité, le vert pour la Science (la connaissance) et le rouge pour le martyre ; la roue de son supplice figure très souvent auprès d’elle

Catherine d’Alexandrie est la patronne des jeunes filles célibataires de 25 ans qui sont appelées les « catherinettes » dont les couleurs sont, depuis le XVIème siècle, le vert pour l’espoir et le jaune pour la famille.

Quant à planter un arbre à la Sainte Catherine tout le monde peut comprendre que c’est la période de repos pour la végétation, et qu’en terre, les racines prendront force et vigueur jusqu’aux beaux jours : « A la sainte Catherine tout arbre prend racine ».

Beaujolais nouveau au M.I.N. de Rungis

Comme chaque année, c’est avec enthousiasme que la Bourrée Montagnarde a répondu à l’invitation de Michel Soulenq pour animer… de très bonne heure, au son de la cabrette et de l’accordéon, les pavillons de la viande, de la volaille et des fleurs au Marché International de Rungis ce jeudi 18 novembre 2021.

Mais d’où vient la tradition du Beaujolais Nouveau ?

C’est en 1951 que la législation sur la vente des vins évolue. Les producteurs devaient jusqu’alors attendre jusqu’au 15 décembre pour sortir des chais et vendre, les vins AOC de l’année. Les vignerons du Beaujolais ne l’entendent pas de cet avis et demandent donc la possibilité de vendre leurs vins « en primeur ». C’est ainsi que le Beaujolais Nouveau, commercialisé chaque 3ème jeudi de novembre, voit le jour ! Les danseurs de la Bourrée Montagnarde ont invité le président du M.I.N. Stéphane Layani, les représentants des syndicats professionnels ainsi que Guillaume Gomez, Ambassadeur de la gastronomie française et ancien chef cuisinier de l’Elysée, à s’initier aux danses Aveyronnaises.

De la joie, une ambiance chaleureuse et festive au Secteur Produits Carnés : quel plaisir de retrouver cet esprit de convivialité… !

ARTISTES EN HERBE

Le 30 et 31 octobre la FFATP, Fédération Française des Arts et Traditions Populaires, nous convie à un stage artistique à Villebon-sur-Yvette, en Ile-de-France, choix stratégique qui laisse présager d’un grand nombre de folkloristes du « Grand Paris » ; surprise pour les organisateurs, ce sont les régions plus éloignées qui ont fait le voyage !
C’est l’occasion pour Stéphanie et Sandrine, respectivement maître de ballet et danseuse à la Bourrée Montagnarde, de rencontrer des Marseillais, des Niçois, des Istriens, des Normands… de tous les âges, s’il vous plaît !

Quatre groupes se forment dont un groupe enfant autour de trois ateliers : théâtre, chant, danse. C’est l’occasion de travailler notre port de tête, nos expressions, notre concentration, notre attention, notre regard…

L’animatrice de l’atelier théâtre insiste :

« Vous devez vous observer, vous écouter !

L’essentiel est de vous amuser de vous faire plaisir.

Et surtout le maître mot, le lâcher prise ! »

A l’atelier chant, et ce ne sera pas une surprise l’accent est donné sur l’écoute et le regard… Tiens encore lui !
L’atelier danse nous signifie, s’il est besoin, l’intérêt de s’aligner, d’écouter la musique… et le maître de ballet…, et de se REGARDER… décidément !
De jolis moments d’émotion et d’énergie !

Le soir nous partageons un repas et dansons autour des musiciens, toujours dans la bonne humeur ; c’est l’occasion de découvrir des danses d’autres régions et de faire plus ample connaissance.
Le lendemain, le réveil est difficile pour certains ! Néanmoins nous sommes d’attaque pour cette dernière matinée à passer ensemble.
Toujours par petits groupes, les trois animateurs nous imposent un travail de composition : restituer tous les exercices effectués sous forme d’un mini spectacle !

Nous nous attelons à la tâche ; chacun y va de son idée, on s’écoute, on recommence, on rigole, on change d’avis… le tout mixé à une bonne dose d’enthousiasme et de respect mutuel… et on crée quatre superbes spectacles : en toute objectivité et modestie !
Preuve que la force c’est le groupe !

Avant de repartir, nous partageons ensemble un dernier déjeuner jusqu’à l’année prochaine où la fédération nous espère encore nombreux et enthousiastes.

D’ailleurs n’hésitez pas à vous inscrire en famille, enfants, parents, grands-parents, en groupe ou seul, c’est vraiment une belle expérience à partager !

MARCHE des PAYS de l’AVEYRON : le GRAND RETOUR !

En ce début du mois de septembre, les vacances sont finies, les jours raccourcissent, les feuilles jaunissent, l’air est plus frais : tout cela nous le savons, nous le constatons, mais, une question est sur toutes les lèvres « Aura-t-il lieu ? » « Se fera-t-il ? » « Auront-ils les autorisations ? » … personne ne sait encore si le Marché des Pays de l’Aveyron aura lieu…et plus les jours passent, plus l’incertitude grandit.

Cependant, à la Bourrée Montagnarde, les folkloristes sont persuadés que le Marché aura lieu cette année, aussi, tous préparent ce grand rendez-vous attendu depuis 2 ans… !
Et le groupe ne s’est pas trompé, la fête aura bien lieu les 8, 9 et 10 octobre 2021.

Présents sur le stand des associations dès le vendredi, quelques fidèles folkloristes accompagnés des musiciens, animent les allées, attirent les visiteurs, proposent quelques CD, renseignent les intéressés, font vivre ce marché par leur présence, leur costume et leur sourire.

L’inauguration du samedi matin est le grand rendez-vous des personnalités qui arpentent les rues du marché, s’intéressent aux différents stands, discutent avec les commerçants de produits du terroir, s’informent auprès des artisans, et voient d’un bon œil cette remarquable vitrine aveyronnaise qui met en avant, cette année, les établissements ayant reçu le label « Entreprise du Patrimoine Vivant ».

C’est au tour de la Bourrée Montagnarde d’animer la messe du dimanche qui rassemble, comme chaque année, beaucoup de monde ; les enfants apportent respectueusement des gourmandises du terroir généreusement offertes par quelques commerçants qui ne peuvent se libérer, la cabrette résonne à l’anamnèse, le doux son de la vielle l’accompagne au moment de l’offertoire, et le chant à Marie en occitan repris par tout le groupe est un véritable moment de communion !

Quelques danses sur le parvis de l’église reçoivent un accueil chaleureux des nombreux paroissiens qui suivent le groupe jusqu’au marché pour assister au spectacle de folklore qui mêle bourrées et chants, adultes et enfants, musique et danses… toujours très apprécié !

La plus belle surprise de ces trois journées ?

Tous les membres du groupe ont reçu un masque bleu marine sur lequel le logo du groupe a été brodé aux couleurs de la robe de chaque dame ou demoiselle : une idée généreuse, un travail remarquable, une réalisation qui a fédéré les « petites mains » de la Bourrée Montagnarde et qui montre un bel esprit de groupe !

Ce grand rendez-vous tant attendu a tenu toutes ses promesses : beaucoup de monde, de belles rencontres, des sourires et la joie de se revoir pour fêter ce grand évènement qui marque, chaque année, la rentrée des Aveyronnais de Paris.

En 2022, le Marché des Pays de l’Aveyron aura lieu les 7, 8 et 9 octobre.

LA BOURREE MONTAGNARDE CHEZ VAN GOGH A AUVERS-SUR-OISE

Le samedi 23 octobre 2021 à l’invitation de la Coordination des Confréries l’Ile-de-France, « COCORICO », la confrérie du pressoir d’Auvers-sur-Oise et de sa municipalité, nous étions dans le caveau de la confrérie d’Auvers à midi, pour nous retrouver derrière un excellent pique-nique offert par La Bourrée Montagnarde et préparé par Régine ; à cette occasion notre trésorier, fêtait son anniversaire.

Vers 14h, nous avons déambulé à travers ce très joli village d’Auvers, ces maisons et jardins atypiques, qui nous ont rappelé la vie, ici, de ces hommes qui ont marqué l’Histoire de la peinture.

Nous nous sommes rendus sur la tombe des frères Van Gogh, recouverte de lierre « couleur verte d’éternel », puis avons assisté à la bénédiction des bannières des Confréries, des associations vinicoles de terroir et bachiques de l’Ile-de- France, dans la très belle église, classée au titre des monuments historiques en 1856 et en 1915, et immortalisée par Van Gogh.

Nous avons défilé avec toutes les confréries et les cors de chasse du Rallye Vauvent jusqu’au parvis de la mairie où une exposition de voitures anciennes était présente.

Devant plus de 250 personnes et après nous être restaurés, la Bourrée Montagnarde est montée sur le podium dans cette magnifique salle des fêtes d’Auvers-sur-Oise, où l’auditoire revivait la vie des Templiers de la terre Sainte…en terre Rouergate ; un merci particulier à Marie Christine pour toutes ces recherches qui permettent à tous et à chacun de peaufiner sa culture sur notre patrimoine.

Il était déjà bien tard, lorsque la nuit est tombée sur ce petit paradis du pays des impressionnistes mais nous garderons un grand souvenir de cette sortie pleine d’émotions… après cette longue absence due à la Covid !

Bon anniversaire Julien et merci à Cocorico.

Des masques… EN URGENCE !

Le 10 octobre dernier, la Bourrée Montagnarde est invitée à animer la messe du marché des Pays de l’Aveyron.

Le 30 septembre au matin, Céline N-G m’appelle avec une idée en tête : coudre des masques pour le groupe en vue du marché et surtout de la messe où le port du masque est obligatoire pour tous.

J’approuve l’idée et ni une ni deux, nous nous mettons d’accord sur la forme, le tissu, la couleur, la doublure, le nombre et la faisabilité du projet ; nous serons une trentaine de costumés, cela nous paraît possible.

Céline s’occupe de commander et de réceptionner le tissu, puis nous fixons une date pour organiser la coupe, la broderie, le montage et les finitions.
Il nous faut du monde : il reste 10 jours avant la messe et certains masques doivent être prêts dès le vendredi 8 octobre pour les folkloristes qui tiennent le stand des associations pour notre groupe.

Rendez-vous donc le dimanche, car en semaine chacune travaille à des horaires différents.
Arrivées chez Céline, nous ne perdons pas de temps. Nous nous mettons d’accord sur les points de la broderie, la taille et l’emplacement sur le masque.

Pendant que Céline s’occupe des réglages sur sa machine, Nathalie et moi traçons, épinglons, coupons en optimisant le temps et le tissu car nous ne pourrons pas recommander en 6 jours.

Au passage, un petit bonjour à Jérémy qui est allé nous chercher à manger… 

L’arrivée d’Adeline et de sa fille Candice nous réconforte.
Pour commencer, Adeline gère le four et nous impose un pause déjeuner !

Hélas nous n’avançons pas aussi vite que nous le voudrions ! La brodeuse fait des siennes : un des masques est réticent à l’aiguille et nous retarde.
De mon côté, je viens de céder ma place de coupeuse à Adeline et entame le montage du premier masque en rodage (le 1er est toujours plus long à confectionner).

L’arrivée de Claire B nous rassure.
Les premiers masques sont prêts pour la suite du travail : c’est alors que l’expression « la petite main » prend tout son sens car les étapes intermédiaires et les finitions sont toujours les plus fastidieuses. Claire est tantôt aux finitions broderies, tantôt au repassage, tantôt à l’occupation de Candice et tantôt à l’enfilage des élastiques.

Il est 20H, la fatigue nous prend : le plus gros est fait ! Tout le tissu est coupé et le « masque maudit » est terminé. Mais il reste encore beaucoup de travail… Pas le choix il faut finir !
Nous nous donnons rendez-vous mardi soir après le travail !

Heureusement, il y a des restes du dimanche donc le dîner est déjà prêt.
À 23H nous avons bien avancé ; toutes les broderies sont faites, et tout est organisé pour que Céline et moi puissions continuer, chacune de notre côté.

Mercredi soir, à la répétition, nous faisons un point sur ce qu’il manque.

Grace à Véronique R et Claire qui ont enfilé les derniers élastiques, repassé et emballé les masques individuellement, marqué de chaque nom, chacun a pu avoir son masque à temps : dès le vendredi pour certains, le samedi pour d’autres (inauguration du marché) et le dimanche pour tous.

Quelle surprise pour beaucoup de folkloristes : en effet, nous avons poussé le détail en brodant la robe du logo de la couleur du costume de chaque fille !!!


Un grand bravo à Celine N-G, Vero R, Nathalie, Adeline, Claire B, Alix car ce projet a pu se concrétiser rapidement et dans l’enthousiasme des retrouvailles !

Enfin une lueur d’espoir se profile à l’horizon !

Ce confinement nous laissera un goût amer… Plus de répétitions, plus de sorties, plus de réunions, plus de repas de famille et parfois des souffrances partagées.

Nous prenons conscience que le contact et le partage sont notre équilibre !

Certains d’entre nous ont pu, malgré tout, se ressourcer, en Aveyron ou ailleurs.
Les retrouvailles de la B.M. se sont déroulées le 13 août au restaurant L’AUBRAC à Rodez, chez notre ami Guy Servientis qui a choisi de revenir aux sources pour perpétuer la gastronomie régionale.

Nous avons partagé encore une fois des souvenirs avec notre ancien Président José Villaret, toujours bon pied bon œil et eu la joie de recevoir la visite d’Isabelle Fraysse toujours en activité dans son restaurant de Rodez, l’Epitoge.

Ces moments de convivialité nous démontrent ô combien, la Bourrée Montagnarde a marqué notre vie, nous qui gardons toujours en mémoire les personnalités marquantes du groupe telles Marraine, René Roques, René Rouquet et tant d’autres !

Aujourd’hui la tendance est à la reprise de nos activités professionnelles et folkloriques et semble redonner l’espoir de jours plus heureux dont nous devons profiter plus que jamais !

La newsletter est le lien qui nous unit à tous ceux qui sont éloignés de notre groupe : sachons profiter des moyens de communication modernes afin de ne pas perdre ce que nous avons de plus cher, l’amitié et le partage de nos valeurs !

Des sorties sont déjà programmées dont le marché des Pays de l’Aveyron qui fera renaître la flamme de notre Amicalisme, les 8, 9 et 10 octobre prochains !

les grandes vacances !

Juillet et août ! Nous avons tous, ou presque, pu apprécier ce temps de repos, d’insouciance, de beau temps et de bon temps !

Nous avons visité nos familles, vu du pays, mangé en terrasse, rencontré des amis… et nous voilà requinqués !

Pour l’heure partageons ces instants de petits bonheurs au travers de nos photos « souvenirs de vacances »

Amusez-vous à aiguiser votre REGARD (tiens le revoilà celui-là !). En les observant vous découvrirez sur chacune d’elles un COUTEAU, comme un clin d’œil à notre région et à notre réputé couteau de Laguiole !

Le couteau de l’AMITIE EN SOMME !