C’est cette question que pose le livre de Vanessa Bamberger originaire de l’Aubrac, cette terre de « haute boue » et qui, élevée par ses grand-mères, a vécu au rythme d’un bistrot parisien.
A l’occasion de son retour imprévu dans le village de ses ancêtres, Brune ne reconnaît rien : elle découvre l’Aubrac qui a façonné des générations de travailleurs dont elle est issue, en même temps que sa famille, son histoire et ses racines.
Quelques mots et expressions patois, de belles descriptions du plateau, un livre qui nous apprend qu’appartenir à une terre est un bienfait que l’on ne mesure pas toujours. « On ne voulait pas vivre à Lacalm, mais on voulait y mourir » : tout est dit !
C’est la nouvelle boutique cadeaux de Bry-sur-Marne (Val-de-Marne) !
Véronique ALBOUZE, originaire de Sainte-Geneviève-sur-Argence, nouvellement nommée Argences-en-Aubrac, s’est installée, pleine de courage et d’enthousiasme au sortir du premier confinement, dans une de ces petites boutiques claires et accueillantes où l’on a envie d’entrer.
Vous trouverez des cadeaux de Noël pour toute la famille, à tous les prix.
Les produits proposés sont de très belle qualité, des objets que vous ne trouverez pas ailleurs : des cadeaux pour nouveau-nés aux jeux pour enfants, des sacs modernes pour adolescents aux bijoux fantaisie féminins, chez Graylou les savons originaux côtoient le beau papier parfumé qui embaumera vos armoires… Des jouets en bois aux jeux de société, le choix est grand, il y en a pour tous les âges, pour tous les goûts et surtout toutes les bourses !
En cette période exceptionnellement difficile pour tous les commerçants, n’hésitez pas à consulter le site internet www.graylou.com et à commander par téléphone : Véronique ALBOUZE : 06 50 68 92 03 3 rue du Sergent Hoff à Bry-sur-Marne, face à l’école saint-Thomas-de-Villeneuve et au Franprix.
Les mesures gouvernementales nous obligent à rester chez nous : plus de rencontres, plus de répétitions, plus de sorties, plus d’animations, plus de réunions, plus de repas en musique ; la vie pourrait devenir triste, mais lorsque l’on appartient à la grande famille du folklore, il n’en est rien !
En épelant ce mot « CONFINES », nous avons trouvé de nombreux motifs de satisfaction et de joie !
Costume : c’est le moment de vérifier que tout est en ordre : recoudre les boutons, ajuster la taille, repasser blouses et tabliers, nettoyer guimpes et chemises, bas et chaussettes… Voilà de quoi nous occuper quelques journées !
Obligation : tous les commerçants qui soutiennent la BM ont fermé leurs portes ; certaines brasseries proposent la vente à emporter : apportons-leur notre soutien par un petit message et dès la réouverture, pensons à réserver une table !
Newsletter: véritable lien entre les folkloristes d’hier et ceux d’aujourd’hui : la famille Bourrée Montagnarde garde contact avec ses membres, grâce à une équipe jeune et dynamique et ses folkloristes qui s’improvisent journalistes !
Folklore: nous ne pouvons pas pratiquer notre passion, eh bien vivons-la autrement ! Regardons les photos, passons les films des banquets, écoutons disques anciens et CD récents, révisons les chants appris tout au long de ces années : il est impossible d’oublier ces moments heureux !
Investir: c’est le moment pour chacun de réfléchir à la reprise, de trouver des idées pour que la BM non seulement marche, mais courre vers son centième anniversaire : il faut accepter de se lever, de s’engager, de s’investir pour que vive la Bourrée Montagnarde encore de nombreuses années !
Nature : comment ne pas regarder autrement notre environnement ? Ecouter chanter les oiseaux, ramasser les feuilles mortes, apprécier les rayons de soleil qui nous réchauffent avant l’hiver, ramasser les derniers fruits que nous donne Dame Nature : sachons apprécier ces petits bonheurs quotidiens !
Echanger: un petit message, une conversation téléphonique, un courrier, nous avons de nombreux moyens de communication : profitons de ces journées sans travail pour prendre des nouvelles les uns des autres. Resserrons nos liens à distance !
Soutien: Noël approche et c’est le moment des cadeaux ! Alors, n’hésitons pas à offrir un CD de la Bourrée Montagnarde : Résonnance, comportant un beau mélange de vielle, accordéon et cabrette enregistré pour les 90 ans du groupe et le précédent enregistré en 2012 avec le très beau chant Aubrac accompagné à la flûte, ou encore le sac de toile beige réalisé par les jeunes, pratique pour aller en course !
Alors, on danse ? Oui, bientôt et en attendant, prenons-soin des uns et des autres !
Pour soutenir la Bourrée Montagnarde : commandez auprès de Martine GASQ : 06.75.86.37.34
Avec la Covid 19 et les décisions gouvernementales à respecter, les musiciens et danseurs de La Bourrée Montagnarde ne peuvent se retrouver le mercredi soir pour répéter. Les rencontres amicalistes ne peuvent être organisées tout comme les fêtes familiales et de villages… Mais La Bourrée Montagnarde veut maintenir les liens si précieux entre les folkloristes et les amis du groupe… les moments festifs nous manquent… aussi découvrir un quartier de Paris à l’occasion d’un rallye pédestre en plein air est une proposition retenue par environ 10 membres du groupe.
Le dimanche 18 octobre, tout a commencé par des retrouvailles surprises dès 12 H 30 chez Claire et Guillaume « Au Pinocchio » 19 bd Edgar Quinet dans le 14ème arrondissement. Chacun a pu prendre des forces avec soit une super pizza, soit d’excellentes pâtes…
Puis direction boulevard Port Royal où les organisateurs des Rallyes Pédestres Parisiens avaient donné rendez-vous.
Chaque participant reçoit le parcours sous forme d’une histoire avec 10 questions qui permettent d’évoluer dans le quartier : jeux de mots entre l’histoire et le nom des boutiques, commerce, rues.
Plusieurs équipes se forment, l’attention est de rigueur.
De belles découvertes… l’arrivée a lieu sur les gradins en pierre des Arènes de Lutèce.
Les résultats sont annoncés… peu importe le principal est de participer !
Au final et par pur hasard pour La Bourrée Montagnarde, cette rencontre a été presque un intergroupe car se sont retrouvés les amis des groupes folkloriques : Lou Padelou, La Montagnarde, La Bourrée de Paris mais aussi les Rabalaïres (nom donné à la commission des jeunes aveyronnais de Paris).
Merci aux organisateurs… bravo aux participants… ! Une après midi de détente bien appréciée en cette période très difficile… seul regret : le couvre-feu n’a pas permis de dîner tous ensemble dans une brasserie aveyronnaise ou plus largement auvergnate qui soutient régulièrement nos événements. Courage encore à tous nos amis CHR et commerçants… qui depuis cette journée sont à nouveau fermés. Prenez toujours soin de vous et de vos proches..
Pour nous, les anciens, ce n’est pas si loin… Fils ou fille de paysan, qui d’entre nous n’est pas monté sur la « charrette » pour, comme on disait, tasser le foin ?
La fenaison représentait un important travail. La réalité d’aujourd’hui réduit considérablement le dur labeur d’hier où il n’y avait point de tracteur, de faucheuse, de faneuse, de râteleuse.
Une fois sec, il fallait charger la remorque et surtout la décharger pour rentrer le foin dans la grange.
Autrefois, le fauchage commençait avec la préparation de la faux. Chaque paysan avait la sienne : une lame large au talon, effilée à l’autre extrémité, montée sur un manche de coudrier ou de châtaignier avec deux solides poignées, l’une au milieu, l’autre au bout du manche.
La préparation de la faux consistait à battre la lame : qui n’a pas vu un père ou grand-père assis par terre sous le grand tilleul, la petite enclume spéciale plantée dans une grosse racine, déplacer lentement le tranchant de la lame sur l’enclumette en tapant régulièrement avec le marteau à aiguiser, un marteau plat ? Chacun avait son rythme et se reconnaissait de loin : Pan, pan, pan, pan, c’était un tel ; pan, pan, panpan pan était quelqu’un d’autre.
La lame bien battue, il fallait lui donner du fil avec la pierre qui était maintenue humide le plus souvent dans une corne de vache.
C’est l’heure d’aller faucher. Le soleil n’est pas encore levé, que les hommes attaquent les prairies.
Les jambes légèrement écartées, les pieds dans de solides sabots de noyer, indispensables pour assurer leur protection contre un écart de la faux, les mains solidement fixées sur les poignées du manche, ils prennent un léger élan vers la droite pour plonger la lame au cœur même de l’herbe en faisant un large mouvement de rotation du tronc et des bras.
Endain après endain, (je vous laisse chercher la signification), l’herbe coupée s’alignait. Puis vers huit heures, c’est le casse-croûte : un solide quignon de pain préparé par la maîtresse de maison.
Une fois l’herbe coupée, il fallait faner et le soir venu, la rassembler en meules pour éviter l’humidité de la nuit et la rosée du matin.
Tout ce travail s’effectuait en pleine chaleur sans autre pause véritable qu’à midi et vers seize heures, à l’heure du « marende » (mot patois qui se comprend facilement).
Ce « marende » aujourd’hui fait l’objet, dans nos campagnes, de grandes fêtes estivales où l’on retrouve les vieux outils, les vieux métiers, la batteuse et un repas presque pantagruélique.
Ce « marende » de 16h… quel délice, c’était frais, c’était sucré, c’était fort, c’était BON.
Il donnait une force nouvelle et un entrain pour le travail le plus dur : charger le foin sur la charrette, équipée de deux roues très grandes pour emprunter plus facilement les mauvais chemins de terre.
Dans cette charrette, toujours quelqu’un pour tasser le foin lancé par les hommes et jusqu’à la dernière fourchée où l’on criait « qu’ei chaba » (c’est fini).
Mais il restait encore à décharger cette charrette et à l’engranger et c’était sans doute le travail le plus pénible. En plus, Il faut rentrer dans la grange en reculant.
Celui ou celle qui se trouvait dans la charrette grimpait dans le fenil pour égaliser et tasser la montagne de foin.
Au début, la tâche est facile, mais lorsque la hauteur du foin atteint les maîtresses poutres de la grange, il n’y a plus guère de place, l’air se fait rare, la poussière est épaisse et la chaleur étouffante.
Quelle joie quand tout est fini avant l’orage !
Si celui-se mettait à gronder, ce qui arrivait souvent et que tout n’était pas fini, il fallait alors, « barger » (faire des monticules de foin) et faner, « rebarger » et refaner, pour rentrer, au bout du compte, un mauvais foin qui sentait le rance.
Car, quelle joie quand le foin était excellent avec une bonne odeur d’herbes et fleurs des prés, un foin moelleux, bien sec et savoureux.
C’ETAIT UN AUTRE TEMPS, MAIS PAS SI LOINTAIN QUAND MEME…
En cette époque de l’an 2020 de disette à Paris, nous nous sommes rendus à 1 h de la capitale pour nous « déconfiner » en cette belle ville de Gisors où nous sommes reçus par le Noble Commandeur de la Commanderie de Saint-Jean de Gisors de O-S-M-T-H.
Tout d’abord saviez-vous que le nom de Normandie signifie les « Gens du Nord » ?
Léguée par la présence des Wisigoths sur notre terre de France, nous apprenons aussi que Gisors est sur la frontière entre le Vexin Français délimité part la rivière l’Epte et le Vexin Anglais.
Nous découvrons le château dressé sur une motte tronconique de 30 m de diamètre et 70 m de base datant du XIIème siècle, construit sur ordre du Roi d’Angleterre Guillaume II le Roux. Ce château est classé monument historique en 1862.
Dans ce château, fut emprisonné le Grand-Maître des Templiers Jacques de Molay qui fut brûlé le fameux vendredi 13 mars 1214 sur le bûcher dressé sur l’Ile aux Juifs, reliée bien plus tard, par le pont Neuf, à l’Ile de la Cité à Paris.
Nous voulons aller chercher le trésor mais, hélas avec la Covid 19 le château n’est pas visitable. Ce fameux trésor est resté une énigme nationale… même le ministre André Malraux s’en préoccupa : raison d’état ? Raison d’Eglise ? Le mystère persiste toujours : ce trésor doit déranger certaines consciences…
Puis nous visitons l’église Saint-Gervais–Saint-Protais, édifiée en mémoire des 2 frères milanais martyrs construite au XIIème siècle, de style gothique flamboyant comme beaucoup d’églises en Ile-de-France, ayant une certaine similitude avec la cathédrale royale de Senlis. Dans cette église on peut apprécier le vitrail dédié à Saint-Crépin et Saint-Crépinien, saints patrons des cordonniers, réalisé en 1530.
Au fait, connaissez-vous le dicton : « Saint-Gervais-quand il est beau, tire Saint-Médard de l’eau » ?
Après avoir déjeuné au Grand Monarque, nous sommes allés dans les bois de Gisors à la découverte de menhirs : la pierre supérieure pesant plus de 12 tonnes est encore une énigme de l’histoire.
Nous étions hébergés dans un gîte chez les Robins, couple d’Anglais brocanteur à Trie-Château, où a été emprisonné Jean-Jacques Rousseau.
Sur la route du retour vers Paris, nous nous sommes arrêtés dans une brasserie du Vexin à Théméricourt, où nous avons acheté de la bière du Vexin et du cidre doux.
Cette région riche pour l’Histoire de notre pays serait peut-être le sujet d’une visite pour notre groupe à quelques encablures de la capitale.
En cette époque de confinement, nous vous recommandons encore d’être vigilants. Nous craignons hélas que cette période dure plus longtemps que l’on peut se l’imaginer.
Nous vous embrassons affectueusement. Villeneuve Saint Georges le 04.11.2020
La nature s’habille de ses plus belles couleurs : les feuillages aux tons mordorés et rougeâtres, se mêlent au vert des épineux avant de tomber au sol et de craquer sous nos pas.
Les enfants profitent des derniers rayons de soleil pour s’ébattre dans les chemins jonchés de feuilles mortes.
Les bêtes broutent l’herbe fraîche avant d’être confinées à l’étable pendant de long mois. Les derniers fruits sont cueillis, les paniers remplis de champignons, noix et noisettes ramassés avec patience arrivent sur la table et les châtaignes sont grillées le soir dans le cantou.
Les cimetières s’égayent de chrysanthèmes multicolores, chacun à sa façon célèbre ce jour où l’on fête tous les saints et son lendemain où l’on honore les défunts.
C’est au cours de cette belle saison que nous apprenons des crimes odieux qui endeuillent notre pays, la reprise de la pandémie qui encombre les services de santé, le deuxième confinement qui promeut le télétravail et exige la fermeture de certains commerces qui sont l’âme des villes et villages de France !
Ces petits commerces sont des lieux de vie, de rencontres, de discussions, de convivialité, ces boutiques de proximité où l’on se sait connu, reconnu, où le « bonjour » quotidien fait chaud au cœur, où la chaleur humaine réconforte, fait oublier les difficultés et aide à tenir dans les moments difficiles, sont indispensables à notre vie quotidienne.
Ces cafés qui animent les quartiers de la capitale aussi bien que les places des campagnes les plus reculées, où ils sont souvent les derniers résistants de la vie grouillante d’autrefois, tentent de faire face pour ne pas sombrer et s’organisent en proposant la vente à emporter.
N’oublions pas que derrière chaque boutique fermée, il y a une famille sans travail, des enfants à élever, un loyer à payer, des charges qui courent : sachons patienter, attendons leur réouverture ou commandons sur leur site internet pour nos achats de fin d’année : ce sera la plus belle façon de les aider à repartir !
Un produit qui conditionne vos débuts de nuit et de journée ; arrosé, toutes ses bulles se mettent en émoi , rincé, il réveille tous vos sens ! Vous l’aurez deviné… il s’agit du… savon !!
Une jeune lozérienne, infirmière de formation, en pleine reconversion avec l’aide d’une fidèle camarade, se lance dans le grand bain : la création de sa propre entreprise, une savonnerie artisanale : CALENKO.
Des projets plein la tête et une envie de changer les choses : produit bio, local et zéro déchet.
Non, le savon n’est pas seulement utilisé par nos grands-parents et non, il n’est pas seulement fait pour se laver les mains !
N’hésitez pas à soutenir cette initiative : la Lozère a besoin de faire connaître et partager ce qui fait son essence même : la nature – le local – le zéro déchet.
Un site de financement participatif est mis à votre disposition : https://fr.ulule.com/calenko-savonnerie/ Elle n’en est qu’aux prémices, mais ne doutons pas que cette jeune lozérienne va nous mettre des bulles plein la tête !
Depuis le début de l’année tous les loisirs sont impossibles, danse, sport, … bref tout est à l’arrêt pour essayer de stopper cette pandémie.
Pour palier ce manque de manifestation, la Bourrée Montagnarde a proposé à ses membres actifs de se réunir, tout en respectant les distanciations sociales, dans une des brasseries qui donne des lots lors de son banquet annuel.
Nous nous sommes donc retrouvés au café «Saint-Honoré», tenu par notre ami Alexandre MONTARNAL. Afin de respecter les distanciations nous étions maximum 6 par tables et nous avons fait tout naturellement des tables de jeunes et de… moins jeunes !
Chaque table a pris un apéritif généreusement offert par la maison, et, bien sûr vous vous en doutez, nous en avons pris un deuxième !
Les conversations se font et se défont, les ventres se remplissent de solides et de liquides, la soirée se passe dans une ambiance chaleureuse et détendue malgré les annonces du gouvernement… Nous terminons notre repas par des fruits : une petite prune et le chant « Jol pont d’a Mirabèl ».
Il est temps pour nous de partir pour respecter les consignes du gouvernement, nous remercions Alexandre MONTARNAL pour sa gentillesse, pour son accueil royal et sa générosité.
Nous attendons avec impatience la prochaine « pastissade ».
« Cela va devenir une habitude » penseront certains, mais à l’image des deux dernières années, me voilà à nouveau en selle pour rejoindre l’Aveyron.
Après être partis de Tours avec François en 2018, puis de Cosne-Cours-sur-Loire l’année dernière avec Alexandre… nous décidons avec mon binôme de cette année, François, de faire une infidélité aux routes auvergnates et de découvrir celles du Sud-ouest.
Nous partons donc de Dax – direction Biarritz pour cette première journée, qui s’avérera être la plus longue avec 109 km parcourus. Lors des jours suivants, notre chemin nous amènera vers les Pyrénées sans jamais trop s’y aventurer… je ne suis pas un grand grimpeur ! Nous longerons donc dans un premier temps le Gave de Pau, en passant par la cité d’Henri IV jusqu’à Lourdes, où nous nous arrêterons quelques instants pour un petit temps de recueillement ; puis, nous continuons notre chemin. Après la ville de Bernadette Soubirous, nous poursuivons vers celle d’une certaine vendeuse de foie… (Vous l’avez ?) Vient alors le moment de quitter les Pyrénées et cap au Nord vers les villes de Castres, Albi, Brousse-le-Château, Villefranche-de-Panat et enfin Laissac !
Pour ce qui est de la gastronomie, nous ne sommes pas en reste, avec la dégustation des vins de Pays et bières locales, mais aussi de plats emblématiques tels qu’une garbure sur la route de Lourdes ou d’un cassoulet en pleine période de forte chaleur… Mais après une bonne journée de vélo, il faut bien recharger les « batteries » !
Pour conclure, nous avons fait un très beau voyage en empruntant principalement des petites routes peu fréquentées et/ou des voies vertes dédiées entre autres, aux cyclotouristes que nous sommes.
Nous garderons en mémoire de bons moments, de belles rencontres et de beaux paysages. Et il en restera la satisfaction d’avoir parcouru près de 850 km en 10 jours. A l’année prochaine pour une nouvelle aventure cyclotouriste !