RENDEZ-VOUS ! Un seul mot et nous voilà propulsés à la rentrée !
Rendez-vous donc pour la reprise des répétitions :
– adultes lemercredi 8 septembre à 21H, salle habituelle, au 32 avenue Céline Robert VINCENNES (métro Saint-Mandé)
– enfants le samedi 11 septembreà 14H au 48 rue Traversière 75011 Paris (métro Ledru Rollin ou Gare de Lyon)
Bien sûr nous resterons vigilants quant aux règles sanitaires.
Pour patienter jusque-là et avoir un avant goût de ce que pourrait être cette reprise, je vous propose de partager un bref instant de convivialité autour de cette danse intergénérations. Mais pour l’heure, profitons de vacances bien méritées pour certains et d’une reprise du travail tant attendue pour d’autres.
De nombreuses entreprises disent qu’elles sont à la recherche de gens qui ont non seulement des compétences pour le travail, mais également de la passion pour ce qu’ils font…
Cherche :
un électricien pour rétablir le courant entre les gens
un opticien pour changer leur regard
un artiste pour dessiner un sourire sur tous les visages
un maçon pour bâtir la paix
un jardinier pour cultiver la pensée
et un professeur de maths pour nous réapprendre à compter les uns sur les autres
Par ces temps de pandémie, avec ce sentiment d’être privés de toutes nos libertés, privés de tous nos sens, nous ne voyons plus que lui, il nous saute aux yeux : Le REGARD. Il est notre point commun, notre trait d’union.
Il exprime à la fois nos joies, nos tristesses. Nos sourires se dessinent au coin des yeux. Nos yeux ne se sont jamais autant exprimés ! Nos larmes les embuent ; ils s’écarquillent pour marquer notre étonnement ; nos sourcils se froncent pour signifier notre colère.
Regarde bien Tu verras loin ! Dans mon regard noir La colère noire Dans mon regard bleu Je suis amoureux Tous les sentiments Jamais ne me ment Dans ce regard là Tu suivras mes pas. Regard méchant Regard fuyant Regard joyeux Regard curieux Regard fier Regard prière Regardez mes yeux Regardez messieurs Regardez mesdames Regardez mon âme.
Un florilège de regards vous est offert… amusez vous à les reconnaître… derrière chaque photo se cache un BMiste !
Nous voici repartis pour une semaine d’école à la maison ! Mais avec Maman, apprendre peut prendre une forme toute particulière : ce sera l’école buissonnière… Nous partons dans les champs, plus exactement SUR les champs… les Champs Elysées ! Nous découvrons l’exposition « Le Chat » de Philippe Geluck, avec, au programme aujourd’hui :
Cour de chant et d’anglais, « Singin’in the rain » sans oublier l’art plastique avec Rodin dans « Le Parleur ».
N’oublions pas les sciences physiques avec la loi de la pesanteur dans « Le Chaltérophile »
Et révision des classiques avec « Roméo et Juliette » et « Pipi et Grobidet ».
J’ai même eu droit à la récréation avec une partie de balançoire !
Mais ne vous y trompez pas, grosse journée de travail… mais quel plaisir ! Et comme il n’y a pas de raison qu’il n’y ait que moi qui travaille, je vous invite à déambuler sur la plus belle avenue du monde en compagnie du Chat où 20 sculptures monumentales, drôles, poétiques et engagées vous attendent jusqu’au 9 juin 2021.
Profitant des vacances scolaires de Février pour descendre en Aveyron, plusieurs membres du groupe se sont retrouvés aux pistes de Laguiole afin de profiter d’un soleil généreux et d’une neige abondante.
Petits et grands se sont amusés à descendre les pistes de luge, entre courses improvisées et figures de style nous avons passé une belle après-midi ; se retrouver, discuter du Pays, prendre des nouvelles et surtout… espérer une reprise des répétions rapidement… !
Avec le couvre-feu, nous nous sommes séparés vers 17h pour que chacun retrouve son village, juste après une belle bataille de boules de neige générale !
Ce pourrait être un instrument de musique avec sa longue tige en forme de flûte. Mais sa fonction est plus primaire et même utilitaire, c’est en fait un joli soufflet à bouche. Taillé et creusé dans une branche, souvent de pin, il sert à attiser le feu🔥. Il suffit de souffler à son extrémité pour que les braises les plus récalcitrantes se remettent à flamber sans effort et sans risque de se brûler. En occitanie, on le nomme «Bofador» ou «Bufadou», bofar ou bufer voulant dire souffler en Occitan. Toutefois, on trouve cet instrument dans de nombreuses autres régions de France. Les Lozériens le nommaient autrefois «l’appareil à rallumer le feu sans se brûler les moustaches» 😂 Il y a aussi cette légende rigolote de Bouffanelle qui défie le temps… « Oyez Oyez, braves gens, damoiselles et damoiseaux🔔 Bouffanelle était une sorcière qui avait une spécialité : le bâton du diable ! Elle avait coupé dans une des forêts d’Auvergne, un jeune bouleau pour en faire un tuyau de bois. Après l’avoir minutieusement creusé, elle regagna son village et d’un coup de formule magique « pic et pic et colégram»… elle fit sortir en soufflant dans son bâton un petit diablotin en culotte rouge 😈. Très malicieux, celui-ci se tortillait dans tous les sens tout le temps que Bouffanelle soufflait. Cette danse du diable avait un tel succès que tout le monde voulait la présence de la sorcière dans les repas de mariage ou festifs. Evidemment, toute célébrité attire la jalousie et la convoitise et chacun essaya vainement d’imiter la sorcière en fabriquant son propre bâton. Peine perdue, lorsqu’on force le destin rien ne vient… Dans la paroisse de Bouffasol, un certain «Bouffarel» avait moult fois tenté sa chance lui aussi mais rien à faire ! Une nuit, voyant que son feu de bois allait s’éteindre, il souffla sans réfléchir dans le bâton en l’approchant trop près des braises… le Bouffadou était né ! » et par extension régionale Bufadou…
A chacun maintenant de croire ou pas à ces histoires…
Qui a peur des fantômes ? Personne, puisque ça n’existe pas ! C’est du moins ce que prétendent le grand-père de Lola et son ami, le capitaine Trimaran. Mais lorsque, à minuit, on frappe à la porte et qu’il n’y a personne dehors, ils disparaissent tous les deux derrière le canapé et se font tout petits. Lola doit donc prendre les choses en main : elle fabrique le piège le plus astucieux qui soit. Ensuite, il n’y a plus qu’à attendre minuit.
Quand j’ai commencé à lire ce livre j’ai tout de suite accroché ! Les réactions des deux adultes sont très drôles face à ce fantôme ; ce sont eux qui ont peur et la petite fille qui cherche des solutions.
La fin de l’histoire est surprenante. J’aime aussi ce livre car il se lit vite. C’est bien !
Ce n’est pas un livre comme les autres, un livre qui raconte une histoire, non, c’est un recueil de poésies, un livre à garder près de soi pour s’évader ou réfléchir.
Tout au long des courts sonnets ou des longs poèmes, l’écriture de Philippe RAMOND est fluide, claire, paisible, humaine ; elle chante les beaux paysages, l’attachement à la terre, les joies familiales, la beauté de la vie qui passe, des saisons qui s’enchaînent.
A chaque poésie correspond un dessin ou une aquarelle d’André BÈS, dont le passe-temps favori était de croquer quelques clients dans son café des anciennes halles, ou de peindre les paysages aperçus au cours de ses longues promenades de retraité.
Un livre élégant dont poésies et aquarelles ouvrent une fenêtre sur la beauté et transportent bien loin de la grisaille !
En vente à : Ma Librairie Insolite – 12420 Argences-en-Aubrac Dominique Cayron : 06 78 80 29 81
Julie d’origine auvergnate et Yann breton tiennent une crèmerie qu’ils ne peuvent appeler autrement qu’ « Aux bons produits d’Auvergne et de Bretagne ». Malheureusement commence la sombre période de l’occupation où la frontière entre bien et mal est trouble et où chacun peut basculer à tout moment d’un côté ou de l’autre… Yann est prisonnier en Allemagne, Julie doit tenir seule la boutique…
Auvergnats et Bretons ont été et sont encore de nos jours très présents en région parisienne. Ils n’oublient pas leurs racines, nombreux sont heureux de représenter au sein d’associations leur folklore et de faire vivre ainsi les traditions mais aussi de transmettre l’Histoire de leurs ainés.
Trop vieille ??? Elle ! Alice manque de s’étrangler. Elle a quarante ans, c’est vrai. Elle ment (si peu) sur son âge, c’est vrai. Elle songe parfois au botox et à la chirurgie plastique, vrai aussi. Mais de là à se faire traiter de « vieilles » par son boss et virer du journal pour qu’une fille plus jeune et dans le coup prenne sa place…
J’ai beaucoup aimé ce livre, alors bien sûr il me parle tout particulièrement car je viens (hum, hum) d’avoir 40 ans ! Je le recommande à toutes celles qui comme moi approchent la quarantaine, elles sont nombreuses au sein de la BM, et qui émettent quelques réserves sur l’idée de devenir vieilles. Ce livre est drôle, insolent, jubilatoire et tellement vrai ! Chaque femme peut se reconnaître dans ce portrait face à la dictature de la jeunesse éternelle…